Jocelyne Brunet | |||||
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Environ neuf mois après l’envol de la jeune Vickie, sa mère Jocelyne ressent la nécessité de divulguer la vie de sa fille. Son deuil est encore très récent et du même coup, l’écriture l’aide à canaliser ses émotions, sa douleur. Sa philosophie de vivre « un jour à la fois » se transforme en « vivre une heure à la fois », sachant bien qu’il ne sert à rien de tenter de comprendre l’incompréhensible. La prière de Reinhold Niebuhr devient son leitmotiv… « Mon Dieu, donnez-moi la sérénité d’accepter les choses que je ne peux changer, le courage de changer les choses que je peux et la sagesse d’en connaître la différence. » Avec le temps, son objectif est finalement atteint et, par cet aboutissement, elle a l’impression de redonner vie à son enfant tout en la dévoilant au monde.
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